Autisme : Le combat de Céline Benabou, mère d’un enfant autiste suite à des lésions cérébrales survenues à sa naissance.

Maman, directrice d’école spécialisée pour enfants autistes et troubles apparentés, directrice d'association… Céline Benabou possède plusieurs casquettes grâce à son fils, Ariel qui a développé des troubles autistiques suite à des lésions cérébrales survenues à sa naissance. Découvrez le parcours hors du commun de cette mère qui a traversé les frontières pour donner toutes ses chances...

« La tête de notre bébé a commencé à bloquer et cela a duré quatre heures » : un père porte plainte contre le Centre Hospitalier de Dinan suite au décès de sa compagne après son accouchement.

La jeune femme est décédée d'une hémorragie quelques heures après avoir donné la vie à son deuxième enfant, à la maternité de Dinan. La tête du bébé demeurait bloquée et l'obstétricien a décidé de procéder à une césarienne quatre heures plus tard.

« On nous a volé la naissance de notre fils » : un couple porte plainte contre le Centre Hospitalier de Guéret, un médecin et une sage-femme.

Un couple a porté plainte contre un obstétricien contractuel, une sage-femme ainsi que le Centre Hospitalier de Guéret, dénonçant des violences obstétricales et des manquements graves ayant mis en danger la vie de leur bébé et de la maman le 5 décembre 2019.

« Tu n’as pas besoin de césarienne, c’est le protocole, on veut que tu accouches naturellement » : son bébé décède à une semaine de vie.

Suite aux anomalies du rythme cardiaque de son bébé durant l'accouchement, la jeune mère reproche à l'obstétricienne un retard de décision de césarienne. En état de mort cérébrale, l'enfant est décédé une semaine après sa naissance.

« Il y a une véritable omerta » : les parents de Margaux, handicapée à plus de 80%, en quête de vérité sur les conditions de sa naissance.

Souffrant de graves séquelles neurologiques, la jeune femme est condamnée à passer sa vie dans un institut spécialisé. La justice administrative a ordonné une nouvelle expertise pour mieux comprendre les conditions de sa naissance.

« Nous sommes persuadés qu’on a accouché trop tard, qu’il aurait dû y avoir une césarienne » : les parents d’un bébé décédé poursuivent l’Hôpital privé Parly 2 en justice.

Une famille bouleversée par le décès de son bébé en décembre 2019 lors d’un accouchement traumatique a décidé de porter l'affaire en justice. L'obstétricien a admis qu'il aurait dû pratiquer une césarienne.

« Un expert médical a voulu disculper l’obstétricien au mépris des faits » : 11 millions d’euros d’indemnisation pour les parents d’un enfant lésé cérébral des suites d’un accouchement traumatique à la maternité de Cagnes sur Mer.

Lors de la naissance de l'enfant à la Clinique Saint Jean à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), l'obstétricien avait refusé de procéder à une césarienne alors que la tête du nourrisson était mal positionnée. Privé d'oxygène, l'enfant est multi lésé cérébral. L'obstétricien a été condamné pour faute et a également été reconnu coupable d'altération de dossier médical.

« A aucun moment, l’hôpital ne se sent coupable ! » : une mère d’un enfant lésé cérébral fait condamner le Centre Hospitalier de Poissy.

Après un accouchement extrêmement douloureux provoqué par l'administration de Cytotec, son enfant est né en état de mort apparente. Aurélie a fait condamner le Centre Hospitalier de Poissy et a contribué à faire retirer le Cytotec du marché.

« Si on avait fait la césarienne avant, rien ne se serait passé ! » : des parents poursuivent le Centre Hospitalier de Maçon suite au décès de leur bébé après un accouchement par le siège.

Leur bébé se présentait par le siège et est décédé deux jours après l'accouchement. Les parents reprochent à la maternité d'avoir indiqué un accouchement par voie basse au lieu de programmer une césarienne.

« Notre bébé s’est asphyxié » : une mère victime d’une rupture utérine et son bébé handicapé a plus de 90% suite à un accouchement par voie basse déclenché au Centre Hospitalier de Lorient.

La vie de Mounir et Camille a basculée le 4 décembre 2018 à la maternité de Lorient. La naissance de leur petite Fatiha a tourné au cauchemar après un accouchement difficile, achevé par une rupture utérine. Le bébé a été asphyxié et est aujourd'hui handicapé à plus de 90%.

« Je n’ai aucune nouvelle de la justice. Je lance un cri d’alerte au procureur de Bobigny » : Après le décès de son nouveau-né à la maternité du Raincy-Montfermeil, une mère réclame justice.

La jeune mère a perdu sa fille alors qu’elle venait d’accoucher et elle met en cause le temps d'attente de sa prise en charge. Elle dénonce l'altération de son dossier médical par le personnel soignant et l’inaction de la justice.

« L’obstétricien voulait absolument me faire accoucher par voie naturelle » : sa césarienne était programmée, mais le médecin décide d’un accouchement par voie basse. Une mère en réanimation à la clinique du Pont de Chaume (Montauban).

L'obstétricien qui suivait la jeune femme avait programmé une césarienne car son bébé était trop gros pour un accouchement par voie basse. Mais deux semaines avant la date prévue, elle a ressenti des contractions et l'obstétricien de garde lui a imposé un accouchement par voie basse, avec forceps, avant de finalement procéder à une césarienne d'urgence.